Celui-là va mettre tout le monde d'accord : dans dix piges, on s'en foutera tous royalement de ce qu'a bien pu devenir Bright Eyes. Et on aura tous un peu raison, parce qu'en ces années où il pleut des folkeux presque autant que des premières Dame de France, un gratteux pouilleux libidineux surement camé au pétard de moins, c'ets pas ça qui nous empêcherait d'aller boire l'apéro en terrasse, bien au contraire. Oui mais voilà, Bright Eyes, soit Conor Oberst de son petit nom, me chatouille quand même la dernière vertèbre sur une chason à la construction toute con, mais alors vraiment, avec un titre digne de l'invention d'un terminale passant le bac littéraire : First day of my life. Riez, allez-y, déchargez-vous ! Vous verrez, vous aussi vous l'aimerez secrétement ce titre. Il est con, ça pourrait être du James Blunt tellement l'intention est palpable, mais voilà, ça marche. Et toc.
je vous avais prévenus.
1 commentaire:
Bright Eyes n'aura finalement fait qu'un seul album réellement écoutable, c'est celui-là. Mais quelle tuerie!
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